Magellan Business School
Histoire de Magellan Business School

Histoire de Magellan Business School

Magellan Business School est installée dans les campus Diderot Education de Montpellier, Aix-en-Provence, Lyon, Paris, Toulouse, Nice, Marseille, Lille, Bordeaux et Nantes.

 

Au-delà des cours, nous transmettons aux étudiants des connaissances, des techniques et des méthodologies, nous développons leurs facultés intellectuelles et leur pouvoir de réflexion, nous les aidons à former leur jugement et à affirmer leur personnalité. Nous leur permettons, par la connaissance d’eux-mêmes et du monde qui les entoure, de trouver leur place dans la société.

 

Notre projet au sein du Groupe Diderot Éducation est de tout mettre en œuvre pour que chaque étudiant acquière son autonomie et soit responsable de ses choix. Dans un esprit de tolérance et d’accompagnement, nos équipes travaillent quotidiennement pour éveiller auprès de chacun la curiosité intellectuelle et l’ouverture au monde. Il est important pour nous de provoquer en chaque jeune la volonté de dépassement de soi.

MAGELLAN BUSINESS SCHOOL, L'ÉCOLE DU TOURISME, DE LA COMMUNICATION ET DU COMMERCE RESPONSABLES ET INTERNATIONAUX

Alexandra Allal, Fondatrice et Directrice Générale du groupe Diderot Education, est avant tout une passionnée de voyages, curieuse de cultures différentes et toujours à la recherche d’exotisme culinaire. C’est Alexandra Allal qui a eu l’idée de créer une école de commerce d’un nouveau genre au sein de son groupe : Diderot Education.

 

Nous sommes 3 étudiants du campus. Elle nous a accordé quelques minutes pour l’interviewer.

Nous lui avons demandé d’être sincère et la plus directe possible. Nous n’avons pas été déçus. Attention, interview détonnante !

 

Les 3 étudiants : 

Madame Alexandra Allal, pour commencer qu’est-ce que Magellan Business School ?

 

Alexandra Allal : 

Bonjour, je suis très heureuse d’être interviewée par nos étudiants. Magellan Business School est d’abord une école Internationale et de Développement Durable, puis une école de commerce. Tout ce que les enseignants dispensent, tout ce que les étudiants apprennent doit passer par les fourches caudines d’une réflexion écologique et internationale.

D’une part, la France est un magnifique mais minuscule État au regard de l’immensité de la planète. La France représente 0,12% de la surface du globe. Il faut 800 France pour couvrir la Terre ; la plupart des beautés terrestres sont hors de la France. Ce que nous appelons “international” n’est pas une option. 

C’est une nécessité. Il faut considérer le monde comme une entité et non les autres comme des “étrangers”. Nous devons avoir une vision moins ethno-centrée. D’autre part, nous ne pouvons pas continuer à concevoir le voyage, les autres, le monde comme une chose, un objet, une matière à consommer. 

Nous ne sommes pas des “consommateurs” de peuples, pays, paysages mais des « commerçants ». L’être humain, animal grégaire par excellence, c’est-à-dire qui aime se regrouper et partager à plusieurs, apprécie plus que tout le commerce des autres, c’est-à-dire l’échange, la communion, la conversation, la considération, le don, des autres et avec les autres. 

 

Nous sommes des commerçants d’humanité, ce que nous voulons avant tout c’est partager avec les autres parfois différents, parfois comme nous mais toujours avec envie et plaisir. Commercer avec autrui signifie échanger et partager des idées.

Notre société de consommation a éliminé les idées, les moments, les sentiments pour privilégier les objets. Le livre Les choses de Perec est le manifeste littéraire du “trop de choses” du 20e siècle.

Pour de multiples raisons, nous avons cultivé la peur de l’autre, nous avons préféré consommer des objets plutôt qu’échanger, converser et partager.

Posséder nous rassure alors que nous devrions être rassurés par les autres, nos amis, nos connaissances, les relations que nous cultivons avec les autres.

Magellan Business School renoue avec notre identité d’être humain. Nous devons penser notre “commerce humain” de manière internationale, respectueuse et durable.

 

Les 3 étudiants : 

Trop bien 🙂 Mais alors qu’apprend-t-on exactement à Magellan BS ?

 

Alexandra Allal : 

À Magellan Business School, en Bachelor et en Master, les étudiants choisissent parmi 3 majeures : Commerce, Communication & Tourisme. 

Pour le Tourisme International & Durable, nos étudiants apprennent toutes les matières qui peuvent répondre concrètement aux questions suivantes : Comment faire pour voyager, découvrir les saveurs, goûter les cuisines du monde sans détruire la planète, sans polluer, sans nuire aux habitats environnementaux et naturels ?

Comment découvrir le monde en évitant de le consommer, de l’appauvrir, de le déséquilibrer ? Comment “commercer avec l’autre” sans parcourir des milliers de kilomètres ? Comment se dépayser dans son propre pays ? Comment rencontrer des personnes extraordinaires sans faire un road-trip improbable dans un désert ? Comment faire du tourisme l’occasion de planter des arbres, sauver des animaux et donner du sens à sa vie ?

Concernant le Commerce International & Durable, l’approche est encore plus “révolutionnaire” car il faut créer des entreprises, faire vivre des familles entières, donner du sens à sa vie, et protéger la nature, valoriser la faune et la flore, en même temps. (Grand sourire).

Le commerce équitable, responsable, durable ne doit pas être une grossière publicité mensongère mais une manière de penser en amont.

La réflexion première doit être comment gagner de l’argent ET valoriser, protéger notre environnement ? Si l’environnement naturel est intégré à notre manière de penser comme on intègre d’emblée les charges sociales, les impôts, les coûts de transports ou de fabrication, alors on peut penser son entreprise sans avoir honte de réussir et gagner de l’argent.

La Communication Internationale & Durable est une nouvelle manière de nous respecter comme être humain. Il n’est pas nécessaire de prendre le consommateur pour un idiot ou un inconscient. Il faut le respecter et lui permettre non pas d’être abreuvé de publicités soi-disant originales mais de découvrir des produits de qualité qui s’adressent à lui. La pub à la papa, faite de campagnes grand public, multi-cibles consistant à taper au hasard dans la foule est terminée.

Désormais, qu’il s’agisse des serveurs Discord, des communautés (captées par les Réseaux sociaux) ou des manières de consommer équitable, la publicité doit être la complice du commerce, l’alliée de la planète. Oui à la rencontre entre un besoin et un produit, non au matraquage publicitaire non désiré.

Le digital, le multilangue, la vertu de l’événementiel, le sport, l’art, les NFT, les loisirs sont des approches de la communication aussi différentes que passionnantes.

 

Les 3 étudiants : 

Je crois qu’on a plus de place pour notre ITW.

Merci beaucoup Madame Allal ; et moi je suis fière de vous avoir comme directrice ! (Les autres ont validé.)

 

Alexandra Allal (elle rougit) : 

Merci à vous et n’oubliez pas de changer le monde, c’est le vôtre !

Alexandra Allal, Fondatrice et Directrice Générale du groupe Diderot Education, est avant tout une passionnée de voyages, curieuse de cultures différentes et toujours à la recherche d’exotisme culinaire. C’est Alexandra Allal qui a eu l’idée de créer une école de commerce d’un nouveau genre au sein de son groupe : Diderot Education.

 

Nous sommes 3 étudiants du campus. Elle nous a accordé quelques minutes pour l’interviewer.

Nous lui avons demandé d’être sincère et la plus directe possible. Nous n’avons pas été déçus. Attention, interview détonnante !

 

Les 3 étudiants : 

Madame Alexandra Allal, pour commencer qu’est-ce que Magellan Business School ?

 

Alexandra Allal : 

Bonjour, je suis très heureuse d’être interviewée par nos étudiants. Magellan Business School est d’abord une école Internationale et de Développement Durable, puis une école de commerce. Tout ce que les enseignants dispensent, tout ce que les étudiants apprennent doit passer par les fourches caudines d’une réflexion écologique et internationale.

D’une part, la France est un magnifique mais minuscule État au regard de l’immensité de la planète. La France représente 0,12% de la surface du globe. Il faut 800 France pour couvrir la Terre ; la plupart des beautés terrestres sont hors de la France. Ce que nous appelons “international” n’est pas une option. 

C’est une nécessité. Il faut considérer le monde comme une entité et non les autres comme des “étrangers”. Nous devons avoir une vision moins ethno-centrée. D’autre part, nous ne pouvons pas continuer à concevoir le voyage, les autres, le monde comme une chose, un objet, une matière à consommer. 

Nous ne sommes pas des “consommateurs” de peuples, pays, paysages mais des « commerçants ». L’être humain, animal grégaire par excellence, c’est-à-dire qui aime se regrouper et partager à plusieurs, apprécie plus que tout le commerce des autres, c’est-à-dire l’échange, la communion, la conversation, la considération, le don, des autres et avec les autres. 

Nous sommes des commerçants d’humanité, ce que nous voulons avant tout c’est partager avec les autres parfois différents, parfois comme nous mais toujours avec envie et plaisir. Commercer avec autrui signifie échanger et partager des idées.

Notre société de consommation a éliminé les idées, les moments, les sentiments pour privilégier les objets. Le livre Les choses de Perec est le manifeste littéraire du “trop de choses” du 20e siècle.

Pour de multiples raisons, nous avons cultivé la peur de l’autre, nous avons préféré consommer des objets plutôt qu’échanger, converser et partager.

Posséder nous rassure alors que nous devrions être rassurés par les autres, nos amis, nos connaissances, les relations que nous cultivons avec les autres.

Magellan Business School renoue avec notre identité d’être humain. Nous devons penser notre “commerce humain” de manière internationale, respectueuse et durable.

Les 3 étudiants : 

Trop bien 🙂 Mais alors qu’apprend-t-on exactement à Magellan BS ?

 

Alexandra Allal : 

À Magellan Business School, en Bachelor et en Master, les étudiants choisissent parmi 3 majeures : Commerce, Communication & Tourisme. 

Pour le Tourisme International & Durable, nos étudiants apprennent toutes les matières qui peuvent répondre concrètement aux questions suivantes : Comment faire pour voyager, découvrir les saveurs, goûter les cuisines du monde sans détruire la planète, sans polluer, sans nuire aux habitats environnementaux et naturels ?

Comment découvrir le monde en évitant de le consommer, de l’appauvrir, de le déséquilibrer ? Comment “commercer avec l’autre” sans parcourir des milliers de kilomètres ? Comment se dépayser dans son propre pays ? Comment rencontrer des personnes extraordinaires sans faire un road-trip improbable dans un désert ? Comment faire du tourisme l’occasion de planter des arbres, sauver des animaux et donner du sens à sa vie ?

Concernant le Commerce International & Durable, l’approche est encore plus “révolutionnaire” car il faut créer des entreprises, faire vivre des familles entières, donner du sens à sa vie, et protéger la nature, valoriser la faune et la flore, en même temps. (Grand sourire).

Le commerce équitable, responsable, durable ne doit pas être une grossière publicité mensongère mais une manière de penser en amont.

La réflexion première doit être comment gagner de l’argent ET valoriser, protéger notre environnement ? Si l’environnement naturel est intégré à notre manière de penser comme on intègre d’emblée les charges sociales, les impôts, les coûts de transports ou de fabrication, alors on peut penser son entreprise sans avoir honte de réussir et gagner de l’argent.

La Communication Internationale & Durable est une nouvelle manière de nous respecter comme être humain. Il n’est pas nécessaire de prendre le consommateur pour un idiot ou un inconscient. Il faut le respecter et lui permettre non pas d’être abreuvé de publicités soi-disant originales mais de découvrir des produits de qualité qui s’adressent à lui. La pub à la papa, faite de campagnes grand public, multi-cibles consistant à taper au hasard dans la foule est terminée.

Désormais, qu’il s’agisse des serveurs Discord, des communautés (captées par les Réseaux sociaux) ou des manières de consommer équitable, la publicité doit être la complice du commerce, l’alliée de la planète. Oui à la rencontre entre un besoin et un produit, non au matraquage publicitaire non désiré.

Le digital, le multilangue, la vertu de l’événementiel, le sport, l’art, les NFT, les loisirs sont des approches de la communication aussi différentes que passionnantes.

Les 3 étudiants : 

Je crois qu’on a plus de place pour notre ITW.

Merci beaucoup Madame Allal ; et moi je suis fière de vous avoir comme directrice ! (Les autres ont validé.)

 

Alexandra Allal (elle rougit) : 

Merci à vous et n’oubliez pas de changer le monde, c’est le vôtre !